Nouvelle maladie à coronavirus 2019 (COVID 19) version 2 (mise à jour le 07.07.2020)
Le ministère de la Santé du gouvernement indien a donné quelques précautions à prendre contre le Covid-19. Les coronavirus sont d’énormes rassemblements d’infections qui provoquent des maladies chez les personnes et les créatures. De temps en temps, des coronavirus créatures peuvent se propager et infecter des individus, puis se propager entre individus, par exemple, cela a été observé avec le MERS et le SRAS.
L'OMS (en vertu du Règlement sanitaire international) a proclamé cet épisode « crise sanitaire générale de portée internationale » (PHEIC) le 30 janvier 2020. Dans ce sens, l'OMS a proclamé le COVID-19 une pandémie le 11 mars 2020.
1. INTRODUCTION
Base du coronavirus
Les coronavirus constituent un vaste groupe de virus qui provoquent des maladies chez les humains et les animaux. Dans de rares cas, les coronavirus animaux peuvent évoluer et infecter les humains, puis se propager entre les personnes, comme cela a été observé avec le MERS et le SRAS. Bien que la plupart des infections humaines à coronavirus soient bénignes, les épidémies du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV) et du coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV) ont causé plus de 10 000 cas cumulés au cours des deux dernières décennies, avec des taux de mortalité. de 10 % pour le SRAS-CoV et de 37 % pour le MERS-CoV. L’épidémie de nouveau coronavirus (COVID-19) a été initialement observée sur un marché de fruits de mer de la ville de Wuhan, dans la province chinoise du Hubei, à la mi-décembre 2019. Elle s’est désormais propagée à 214 pays/territoires/zones dans le monde.
L'OMS (en vertu du Règlement sanitaire international) déclare à propos du coronavirus que
l'OMS, sous https://en.wikipedia.org/wiki/International_Health_Regulations, a déclaré cette épidémie comme une « urgence de santé publique de portée internationale » (PHEIC) le 30 janvier 2020. L'OMS a ensuite déclaré COVID -19, une pandémie le 11 mars 2020. La plupart des personnes infectées par le virus COVID-19 présentent une maladie bénigne et se rétablissent. Environ 80 % des patients confirmés en laboratoire ont présenté une maladie bénigne, 15 % nécessitent une hospitalisation et 5 % des cas sont critiques nécessitant une prise en charge par ventilation. Le taux de létalité global (CFR) est de 6,9 % à l’échelle mondiale, ce qui est considérablement inférieur à celui signalé lors des épidémies de SRAS (15 %) et de MERS-CoV (37 %). Le CFR varie selon l’emplacement et l’intensité de la transmission. La mortalité est élevée chez les personnes âgées, en particulier celles souffrant de comorbidités telles que la maladie coronarienne, le diabète, l'hypertension, les maladies respiratoires chroniques, etc.
Ratio universel
Au 7 juillet 2020, des cas confirmés de COVID-19 étaient signalés dans 213 pays et territoires à travers le monde. Au total, 11 790 944 cas confirmés en laboratoire et 6 776 519 cas guéris, soit 5 41 895 décès ont été signalés dans le monde. L'épidémie, initialement concentrée sur la Chine, s'est désormais déplacée vers la région européenne et les États-Unis d'Amérique. Le nombre maximum de cas est actuellement signalé aux États-Unis, en Russie, en Espagne, au Royaume-Uni, en Italie, en Allemagne, au Brésil, en Turquie et en France.
Ratio indien
Au 7 juillet 2020, un cas de coronavirus : 723 195 actifs, 441 733 guéris/sortis et 20 201 décès ont été signalés jusqu'à présent.
Symptômes épidémiologiques
Les coronavirus appartiennent à une grande famille de virus, certains provoquant des maladies chez les humains et d'autres qui circulent entre les animaux, notamment les chameaux, les chats, les chauves-souris, etc. Dans de rares cas, les virus corona animaux peuvent évoluer et infecter les personnes, puis se propager entre les personnes, comme en témoignent l’épidémie du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS, 2003) et du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS, 2014). L’agent étiologique responsable de l’épidémie actuelle de SRAS-CoV-2 est un nouveau coronavirus étroitement lié au SRAS-Coronavirus. Chez l’homme, la transmission du SRAS-CoV-2 peut se produire via les sécrétions respiratoires (directement par les gouttelettes provenant de la toux ou des éternuements, ou indirectement par des objets ou des surfaces contaminés ainsi que par des contacts étroits). Les estimations actuelles de la période d’incubation du COVID varient de 2 à 14 jours. Les symptômes courants comprennent la fièvre, la fatigue, la toux sèche et les difficultés respiratoires. Des symptômes des voies respiratoires supérieures comme des maux de gorge, de la rhinorrhée et des symptômes gastro-intestinaux comme la diarrhée et des nausées/vomissements sont également signalés. Selon l'analyse de la plus grande cohorte rapportée par le CDC chinois, environ 81 % des cas sont légers, 14 % nécessitent une hospitalisation et 5 % nécessitent une prise en charge sous respirateur et en soins intensifs. Les décès signalés concernent principalement la population âgée, en particulier celles présentant des comorbidités. Au moment de la rédaction de ce document, de nombreuses informations épidémiologiques cruciales, notamment la source de l'infection, le mode de transmission, la période d'infectiosité, etc., sont encore en cours d'investigation.
2.APPROCHE STRATÉGIQUE
L’Inde suivrait une approche basée sur des scénarios pour les scénarios possibles suivants :
2.1. Approche clé lorsque « seulement des cas liés à des voyages détaillés depuis l'Inde »
(I) Une coordination inter-clericale (Groupe des Ministres, Comité des Secrétaires) et une co-nomination entre l'État et le Centre ont été mises en place.
(ii) Détection précoce grâce au contrôle des points d'entrée (PoE) des voyageurs en provenance de pays influencés via 30 aérogares assignées, 12 ports importants, 65 ports mineurs et 8 intersections terrestres.
(iii) Surveillance et suivi des contacts par le biais du Programme de surveillance intégrée des maladies (IDSP) pour suivre les voyageurs du réseau qui sont venus de pays influencés et de plus, afin d'identifier les regroupements, le cas échéant, de maladies respiratoires intenses.
(iv) Détection précoce grâce à un laboratoire système de l'ICMR qui teste des exemples de cas suspects.
(v) Maintien de l'approvisionnement tampon en matériel défensif individuel.
(vi) Correspondance des risques pour inciter les personnes ouvertes à suivre des mesures préventives de bien-être ouvert.
Vous pouvez en savoir plus sur les voyages en Inde et les restrictions relatives aux visas indiens .
2.2. Transmission de la maladie COVID-2019 dans les quartiers.
Le système continuera comme avant, comme précisé au paragraphe 2.1 ci-dessus. De plus, le système de contrôle de groupe démarrera avec :
3. Étendue DE CE DOCUMENT
Conformément à la méthodologie clé, cette archive donne l'activité qui doit être prise pour contenir un groupe. Les activités de contrôle d'épisodes énormes seront gérées de manière indépendante.
4. Objectifs
L'objectif du contrôle des grappes est de rompre le schéma de transmission et de réduire la morosité et, plus encore, la mortalité due au COVID-19.
5. Confinement en groupe
5.1. Signification du cluster
Un groupe est caractérisé comme « un conglomérat irrégulier d'événements de santé qui sont rassemblés dans le temps et dans l'espace et qui sont comptabilisés dans un bureau de santé » (Source CDC). Des groupes de cas humains se forment lorsqu’il existe une transmission à proximité. La transmission à proximité est caractérisée comme un cas confirmé de COVID-19 par un centre de recherche :
(I) Qui n'est pas parti d'une zone détaillant des cas confirmés de COVID-19 ou
(ii) Qui n'a eu aucune introduction à une personne venant d'une zone affectée par le COVID-19.
(iii) Les cas sont épidémiologiquement liés.
En tant que définition de travail, moins de 15 cas dans une zone peuvent être traités comme un groupe.
Il pourrait y avoir un ou plusieurs foyers de transmission dans le quartier.
5.2. Stratégie de confinement de groupe
Le système de contrôle de groupe consiste à contenir la maladie dans un territoire géographique caractérisé par une identification précoce, brisant la chaîne de transmission et empêchant par la suite sa propagation à de nouveaux territoires. Cela comprendrait l'isolement géographique, des mesures de suppression sociale, une observation dynamique améliorée, le test de chaque cas présumé, l'isolement des cas, l'isolement à domicile des contacts, l'activation sociale pour suivre des mesures préventives de bien-être général.
5.3. Base de preuves pour la réglementation des groupes
Des mesures de grande envergure pour contenir le COVID-19 ont été tentées en Chine, en République de Corée, en Allemagne, en France, à Singapour et en Italie. Puisqu’il existe une transmission interhumaine efficace, l’accomplissement des tâches de régulation ne peut être garanti. Les médiations visant à limiter la tristesse, la mortalité et les troubles sociaux liés au SRAS en 2003 ont montré qu'il était alors envisageable d'activer une activité complexe de santé générale pour contenir la poussée du SRAS. L’affichage scientifique envisage de recommander qu’une réglementation soit envisageable.
5.4. Variables influençant la régulation du groupe
Divers facteurs déterminent la réalisation des activités de régulation. Ce sont :
(I) Taille du groupe.
(ii) Dans quelle mesure l’infection se transmet-elle au sein de la population indienne.
(iii) Temps écoulé depuis le début du premier cas/groupe de cas. La reconnaissance, l'affirmation des centres de recherche et le détail des cas initiaux doivent se produire rapidement.
(iv) Recherche active de cas et analyse du centre de recherche.
(v) Isolement des cas et isolement des contacts.
(vi) Qualités géographiques de la zone (par exemple ouverture, limites caractéristiques)
(vii) Épaisseur de la population et son développement (en comptant la population transitoire).
(viii) Des ressources qui peuvent être préparées rapidement par le gouvernement de l'État/le gouvernement central.
(ix) Capacité à garantir un cadre fondamental et des administrations de base.
5.5. Suppositions
(I) L'infection ne circule pas dans la population indienne.
(ii) Même s’il y a une pandémie mondiale, une grande partie du pays reste épargnée et une énorme population reste vulnérable.
6. PLAN D'ACTIVITÉS POUR LE CONFINEMENT DES CLUSTERS
6.1. Instruments institutionnels et co-nomination intersectorielle
Au niveau national, le Comité national de gestion des crises (NCMC)/Comité des secrétaires (CoS) sera mis en place. La co-nomination avec les parties bien-être et non-bien-être sera supervisée par le NCMC/Cos, sur des questions saluées par le ministère de la Santé. Le Service de Santé et Famille d'Assistance Gouvernementale lancera son Plan de Gestion de Crise.
L'État concerné mettra en place le Comité national de gestion des crises ou l'Autorité exécutive de l'État en cas de catastrophe, selon le cas, pour faire face aux groupes de COVID-19. Il y aura des réunions conjointes habituelles entre les États intermédiaires et les États influencés par le biais de réunions vidéo.
L'État devrait auditer les instruments juridiques actuels pour exécuter le dispositif de régulation. Quelques-unes des lois/règles de réflexion pourraient être
(I) la loi sur la gestion des catastrophes (2005)
(ii) la loi sur les épidémies (1897)
(iii) le Cr.PC et
(iv) les lois spécifiques à l'État sur la santé publique.
6.2. Déclencheur d'action
Le déclencheur pourrait être la reconnaissance par l'IDSP d'un groupe de maladies de type grippal (ILI) ou d'affections respiratoires aiguës sévères (IRAS), qui pourraient éventuellement avoir un lien épidémiologique avec un cas lié au mouvement. Cela pourrait également se faire par le biais d'autres éléments d'annonce occasionnels (médias/société commune/cliniques médicales gouvernementales et privées), etc. L’État garantira une détection précoce grâce au réseau ICMR/VRDL (Virus Research and Diagnostic Laboratory). Un cas positif déclenchera un dispositif d'activités de régulation du groupe.
6.3. Disposition des équipes de réponse rapide (RRT)
L'État enverra ses groupes RRT d'État et de région RRT pour adopter la planification des cas et des contacts afin de décrire les zones de réglementation et de soutien. La division de secours médicaux de crise (EMR), Service de santé et de protection de la famille, peut envoyer l'équipe centrale de réponse rapide (RRT) pour soutenir et guider l'État.
6.4. Distinguer la zone de confinement topographiquement caractérisée et la zone tampon
6.4.1. Zone de contrôle
La zone de contrôle sera caractérisée en fonction de : Les zones de confinement sont représentées en fonction de :
I. Planification des cas et des contacts
ii. Dispersion topographique des cas et des contacts
iii. Zone ayant une frontière très différenciée
iv. Renforcement du contrôle aux frontières, le RRT effectuera l'affichage des cas, des contacts et leur planification. Cette région devrait donc être convenablement caractérisée par l'organisation régionale/les organismes urbains de quartier avec des contributions spécialisées au niveau du quartier. Pour un contrôle viable, il convient de se prononcer en faveur de l’alerte.
Les exercices à adopter dans la zone de confinement comprennent :
I. Recherche dynamique de cas grâce à une reconnaissance physique de maison en maison par des équipes spéciales conçues à cet effet.
ii. Test de tous les cas conformément aux règles d'inspection
iii. Contact suivant
iv. Preuve reconnaissable des bénévoles du réseau de quartier pour aider à la reconnaissance, au suivi des contacts et à la correspondance des dangers
v. Large entre la correspondance proche du domicile et la correspondance basée sur le réseau
vi. Mise en œuvre exigeante de la suppression sociale
vii. Veiller de près à la propreté, à la propreté respiratoire, à l'assainissement naturel et au port de voiles/couvre-visages
viii. Administration clinique de chaque cas confirmé
6.4.2. Frontière
Lorsque la zone de confinement est représentée, la frontière sera caractérisée et il y aura un contrôle strict des frontières avec :
I. Fondation de sections claires et de points de congé,
ii. Aucun développement ne sera autorisé à l'exception des crises liées à la santé et aux marchandises fondamentales et aux administrations,
iii. Aucun déluge incontrôlé de population ne doit être autorisé et
iv. Les personnes voyageant doivent être enregistrées et terminées IDSP.
6.4.2. Zone de support
Une zone tampon doit être délimitée autour de chaque zone de régulation. Il sera caractérisé de manière appropriée par l'organisation du territoire/les organismes urbains de quartier avec des contributions spécialisées au niveau proche. La zone de soutien sera essentiellement la zone dans laquelle une réflexion plus approfondie et plus ciblée sera nécessaire afin de garantir que la maladie ne se propage pas aux territoires limitrophes. Pour une réglementation contraignante, il est d’une importance vitale que la zone tampon soit une région immense. Les exercices menés dans le cadre de la zone tampon comprennent :
I. Une reconnaissance détachée améliorée pour les cas de SG et d'IRAS dans la zone de soutien grâce au programme intégré de surveillance des maladies existant.
ii. Amenez les gens à être attentifs en groupe aux évaluations préventives, par exemple la propreté individuelle, la propreté des mains et le décorum respiratoire.
iii. Utilisation de la propagation du visage, suppression sociale grâce à des exercices IEC améliorés.
iv. Garantir la suppression sociale en :
7. SURVEILLANCE
7.1. Surveillance en zone de confinement
7.1.1. Liste des contacts
Les RRT répertorieront les contacts du cas suspect/confirmé en laboratoire de COVID-19. L'agent de surveillance du district (dans la juridiction duquel se trouve le cas confirmé en laboratoire/cas suspect) ainsi que le RRT cartographieront les contacts pour déterminer la propagation potentielle de la maladie. Si l'adresse résidentielle du contact se situe au-delà de ce district, l'IDSP du district en informera l'IDSP du district/IDSP de l'État concerné.
7.1.2. Cartographie des zones de confinement et tampons
Les zones de confinement et tampons seront cartographiées pour identifier les établissements de santé (à la fois gouvernementaux et privés) et le personnel de santé disponible (agents de santé primaires, travailleurs d'Anganwadi et médecins des PHC/CHC/hôpitaux de district).
7.1.3. Surveillance active
Les zones résidentielles seront divisées en secteurs pour les ASHA/travailleurs Anganwadi/ANM couvrant chacun 100 ménages (50 ménages dans les zones difficiles). Une main d’œuvre supplémentaire serait mobilisée dans les districts voisins (sauf zone tampon) pour couvrir tous les ménages de la zone de confinement. La main-d’œuvre supplémentaire, si nécessaire, sera répertoriée sur covidwarriors.gov.in. Ce site Web donne accès à la liste des bénévoles formés à la surveillance (ASHA, travailleurs d'Anganwadi, NSS, NCC, IRCS, NYKV). Cet effectif sera composé d'agents de supervision (médecins PHC/CHC/Ayush) dans un rapport de 1:5.
Les agents de terrain effectueront quotidiennement une surveillance active de maison en maison dans la zone de confinement de 8h00 à 14h00. Ils dresseront une liste des membres de la famille et de ceux qui présentent des symptômes. L'agent de terrain fournira un masque au cas suspect et à l'aidant identifié par la famille. Le patient sera isolé à domicile jusqu'à ce qu'il soit examiné par le surveillant. Ils assureront également le suivi des contacts identifiés par les RRT au sein du secteur qui leur est attribué.
Tous les cas de SG/SARI signalés au cours des 14 derniers jours par l'IDSP dans la zone de confinement seront suivis et examinés pour identifier tout cas manqué de COVID-19 dans la communauté.
Tout cas entrant dans la définition de cas sera transmis à l'agent de surveillance qui, à son tour, visitera le domicile de la personne concernée, confirmera ce diagnostic conformément à la définition de cas et prendra les dispositions nécessaires pour transférer le cas suspect vers l'établissement de traitement désigné. L'agent de supervision collectera les données des agents de santé placés sous ses ordres, rassemblera et fournira les données quotidiennes et cumulées à la salle de contrôle avant 16h00 tous les jours.
7.1.4 Surveillance passive
Tous les établissements de santé de la zone de confinement seront répertoriés dans le cadre de l'exercice de cartographie. Tous ces établissements, tant du secteur public que du secteur privé (y compris les cliniques), doivent signaler les cas cliniquement suspects de COVID-19 en temps réel (y compris les rapports « Néant ») à la salle de contrôle au niveau du district. Les formations sanitaires dans la zone tampon
7.1.5. Recherche des contacts
Les contacts du cas confirmé en laboratoire/cas suspect de COVID-19 seront répertoriés, suivis et maintenus sous surveillance à domicile pendant 28 jours (par l'agent de terrain désigné). L'agent de surveillance dans la juridiction duquel se trouve le cas confirmé/cas suspect en laboratoire doit informer la salle de contrôle de tous les contacts et de leurs adresses de résidence. La salle de contrôle informera à son tour les agents de surveillance des secteurs concernés pour la surveillance des contacts. Si l'adresse résidentielle du contact se situe au-delà du secteur attribué, l'IDSP du district en informera l'agent de surveillance concerné/l'IDSP du district concerné/l'IDSP de l'État concerné.
7.2. Surveillance dans la zone tampon
Les activités de surveillance à suivre dans la zone tampon sont les suivantes :
Tous les établissements de santé de la zone tampon seront répertoriés dans le cadre de l'exercice de cartographie. Tous ces établissements, tant du secteur public que du secteur privé (y compris les cliniques), doivent signaler les cas cliniquement suspects de COVID-19 en temps réel (y compris les rapports « néant ») à la salle de contrôle au niveau du district. Des mesures telles que l'hygiène personnelle, l'hygiène des mains et la distanciation sociale doivent être renforcées grâce aux activités d'IEC dans la zone tampon.
7.3. Contrôle du périmètre
Le contrôle du périmètre garantira qu'il n'y a pas de mouvement sortant incontrôlé de la population hors de la zone de confinement, sauf pour le maintien des services essentiels (y compris les urgences médicales) et la continuité des activités du gouvernement. Cela limitera également l’afflux incontrôlé de population dans la zone de confinement. Les autorités de ces points d'entrée seront tenues d'informer les voyageurs entrants des précautions à prendre et fourniront également à ces voyageurs une brochure d'information et un masque.
Tous les déplacements de véhicules, de transports publics et de personnel seront restreints. Toutes les routes, y compris les routes rurales reliant la zone de confinement, seront gardées par la police.
L'administration du district affichera des panneaux et sensibilisera le public au contrôle du périmètre. Les agents de santé postés au point de sortie effectueront un contrôle (par exemple interrogeront les voyageurs, mesureront la température, enregistreront le lieu et la durée de la visite prévue et conserveront un enregistrement complet du lieu de séjour prévu).
Les détails de toutes les personnes quittant la zone périmétrique pour les services essentiels/d'urgence seront enregistrés et feront l'objet d'un suivi via l'IDSP. Tous les véhicules sortant du périmètre de contrôle seront décontaminés avec une solution d'hypochlorite de sodium (1 %).
8. SOUTIEN AU LABORATOIRE
8.1 Laboratoires désignés
Le laboratoire du réseau VRDL identifié, le plus proche de la zone affectée, sera encore renforcé pour tester les échantillons. L'autre gouvernement disponible. les laboratoires et les laboratoires privés (BSL 2 suivant les précautions BSL 3) si nécessaire, doivent également être engagés pour tester les échantillons, après avoir assuré l'assurance qualité par le réseau ICMR/VRDL. Si le nombre d'échantillons dépasse sa capacité de pointe, les échantillons seront expédiés vers d'autres laboratoires proches ou vers NCDC, Delhi ou NIV, Pune ou vers d'autres réseaux de laboratoires ICMR en fonction de la proximité géographique.
Tous les résultats des tests doivent être disponibles dans les 24 heures suivant l’échantillonnage. L'ICMR et le gouvernement de l'État veilleront à ce qu'il existe des agences désignées pour le transport des échantillons vers les laboratoires identifiés. Le numéro de contact de ces agences de messagerie fera partie du microplan.
Les lignes directrices pour le prélèvement, l’emballage et le transport des échantillons sont disponibles sur
https://www.mohfw.gov.in/pdf/5Sample%20collection_packaging%20%202019-nCoV.pdf
Le laboratoire désigné fournira une mise à jour quotidienne (quotidienne et cumulative) aux salles de contrôle du district, de l'État et centrales sur :
8.2 Critères de test
La stratégie de test de l'ICMR est indiquée ci-dessous :
9. SOINS HOSPITALIERS
Tous les cas suspects détectés dans les zones de confinement/tampon (jusqu'à ce qu'un diagnostic soit posé) et ceux testés positifs seront hospitalisés et maintenus en isolement dans des zones séparées dans des établissements désignés. Une installation à trois niveaux a été développée pour l'isolement des cas suspects/confirmés de COVID-19.
Il s’agit des centres de soins Covid (CCC) pour garder les cas pré-symptomatiques/très légers/légers, des centres de santé dédiés Covid (DCHC) pour ceux qui nécessitent une oxygénothérapie et des hôpitaux dédiés Covid pour ceux qui nécessitent des soins de santé intensifs ou une gestion des ventilateurs.
Certains patients peuvent évoluer vers une défaillance multiviscérale et, par conséquent, un établissement de soins intensifs/un centre de dialyse/et une thérapie de sauvetage [oxygénateur à membrane extra corporelle (ECMO)] pour gérer les complications respiratoires/rénales/une défaillance multiviscérale seront nécessaires. Si de telles installations ne sont pas disponibles dans la zone de confinement, l'établissement de soins tertiaires le plus proche du secteur public/privé doit être identifié, cela devient une partie du micro-plan.
Les cas présymptomatiques et très bénins ont la possibilité d'être isolés à domicile sous réserve de la disponibilité d'un espace réservé à l'isolement à domicile.
9.1 Capacité de pointe
Sur la base de l'évaluation des risques, si la situation le justifie (les données suggèrent une augmentation exponentielle du nombre de cas), la capacité de pointe des hôpitaux identifiés sera renforcée, les hôpitaux privés seront connectés et les sites pour les hôpitaux temporaires identifiés et leurs besoins logistiques doivent être élaborés.
Des lignes directrices connexes sont disponibles à l’adresse :
https://www.mohfw.gov.in/pdf/AdvisoryforHospitalsandMedicalInstitutions.pdf
9.2 Soins préhospitaliers (ambulance)
Des ambulances doivent être en place pour le transport des cas suspects/confirmés. Ces ambulances doivent être occupées par du personnel adéquatement formé au contrôle de la prévention des infections, à l'utilisation des EPI et au protocole qui doit être suivi pour la désinfection des ambulances (par une solution d'hypochlorite de sodium à 1 % à l'aide de pulvérisateurs à dos).
10. FINANCEMENT DES OPÉRATIONS DE CONFINEMENT
Les besoins en fonds seront estimés en tenant compte des apports du micro-plan et les fonds seront mis à la disposition du collecteur de district à partir du flexi-fund du NHM.
10.1 Réduction des opérations
Les opérations seront réduites si aucun cas de COVID-19 confirmé en laboratoire secondaire n'est signalé dans les zones de confinement et tampon pendant au moins 4 semaines après que le dernier test confirmé a été isolé et que tous ses contacts ont été suivis. pendant 28 jours. L'opération de confinement sera réputée durer plus de 28 jours à compter de la sortie du dernier cas confirmé (suite à des tests négatifs conformément à la politique de sortie) de l'établissement de santé désigné, c'est-à-dire lorsque le suivi des contacts hospitaliers sera terminé.
La clôture de la surveillance des clusters pourrait être indépendante les unes des autres à condition qu'il n'y ait pas de continuité géographique entre les clusters. Cependant, la surveillance se poursuivra pour le SG/SARI.
Toutefois, si le plan de confinement ne parvient pas à contenir l’épidémie et qu’un grand nombre de cas commencent à apparaître, l’administration de l’État devra alors prendre la décision d’abandonner le plan de confinement et de commencer les activités d’atténuation.
11. MISE EN ŒUVRE DU MICRO-PLAN
Sur la base des activités ci-dessus, l'État/le district préparera un micro-plan spécifique à l'événement et mettra en œuvre les opérations de confinement.
19. SUIVI DES DIRECTIVES SUPPLÉMENTAIRES ÉMISES DE TEMPS À TEMPS
Comme la situation continue d'évoluer, sur la base de preuves supplémentaires et de la propagation des cas, des lignes directrices supplémentaires sont publiées de temps à autre par le gouvernement. Celles applicables en termes d’efforts de gestion dans les clusters identifiés seront prises en compte et mises en œuvre en conséquence. Les instructions supplémentaires, le cas échéant, sont mises à disposition de temps à autre sur le site Web du MoHFW.